Le Canada compte actuellement plus de 461,000+ anciens combattants et leurs familles. Chaque année, environ 5 000 militaires quittent le service et les rejoignent.
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68 000 familles de militaires de la force régulière sont affectées au Canada, dont plus de la moitié ont moins de 35 ans et la moitié ont des enfants.
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Plus de 461 000 + vétérans et leurs familles vivent actuellement au Canada, et nombre d’entre eux sont touchés par les difficultés liées à la transition vers la vie civile.
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2 500 militaires sont libérés pour raisons médicales chaque année, et environ 700 conjoints et 900 enfants sont également concernés.
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60 % des militaires libérés pour raisons médicales ont des limitations physiques permanentes.
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Quatre ans plus tard, 13 % des membres des FAC ont été diagnostiqués comme souffrant d’un trouble mental imputable au déploiement en Afghanistan.
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Les enfants de familles militaires sont deux fois plus touchés par les problèmes de santé mentale que les enfants de familles civiles.
Il est temps que nous ayons les nôtres
Qu'ils soient confrontés à des problèmes de santé, que leur famille ait besoin de soutien ou qu'ils cherchent à se réinsérer dans la vie civile, il est de notre responsabilité de veiller à ce que leurs besoins soient satisfaits.
En acceptant cette responsabilité et en donnant généreusement, les Canadiens peuvent trouver leur propre façon de servir. Nous sommes un pays plus fort et plus solidaire lorsque les Canadiens rendent la pareille à ceux qui ont tout donné.
Lors d'occasions comme le Jour du Souvenir, les Canadiens se rassemblent pour rendre hommage aux contributions et aux sacrifices de nos valeureux soldats et anciens combattants. Mais souvent, lorsque les coquelicots portés sur nos cœurs commencent à disparaître, il en va de même pour l'attention portée aux défis liés au service de la communauté militaire de notre nation.
Soutenir les familles militaires plus fortes, car les conjoints, les soignants, les enfants et les jeunes sont appelés à faire de profonds sacrifices en même temps que leurs proches.
Donner la priorité au bien-être, en investissant notamment dans des programmes de santé mentale et de transition.
Améliorer le parcours de réhabilitation et de rétablissement grâce au pouvoir du sport, des expéditions et des thérapies alternatives
Fournir des ressources aux organisations qui favorisent la connexion avec les communautés, que ce soit par le biais du mentorat, du bénévolat ou de la défense des droits.
